CHINE octobre 2012 |
Nous y pensions depuis 2 ans, le projet était de visiter le nord de la Chine. Mais nous avons fait connaissance, puis nous nous sommes liés d'amitié avec une jeune femme de Hong Kong. Le voyage ne pouvait que se terminer à Hong Kong. Depuis Pekin nous avons rejoint par le TGV chinois une vielle ville fortifiée: Pingyao. Par un train de nuit nous sommes arrivés à Xi'an, ville départ de la route de la soie; 27 milions d'habitants... connue surtout pour son armée en terre cuite. C'est par avion que nous avons atteint Shanghaï où se melange les immeubles modernes, les temples anciens et l'ancien parc Yu. Nouvel avion vers Guilin. Paysage karstique sculpté par l'eau acide du fleuve Li. Les bagages devenant trop petits, il a fallu s'équiper d'une nouvelle valise. Une courte étape à Canton et par hydro glisseur: Hong Kong, aboutissement de ce road movie de 15 jours. Les mots pour décrire l'accueil que nous avons reçu sont insuffisants, uniquement le coeur peut parler. Des amis qui ont quitté leur travail pour nous rencontrer, nous faire aimer leur ville, nous aimer, et qui se sont tous déplacer vers un lointain aéroport vers 23 heures pour un émouvant "au revoir". Nous avons compris ce que signifiait pour ces amis aimer son prochain comme soi même car "peu importe les offrandes et les sacrifices, si vous ne vous aimez pas les uns les autres". Quelques problèmes d'excédant de bagages au départ, vite résolus par nos amis. Les valises c'est comme le temps; même archi pleines, il reste une place pour une paire de chaussettes pour qui fait l'effort de chercher. Dans un emploi du temps, il reste toujours un instant pour aimer son prochain, mais il faut en avoir la volonté... C'est cette amitié qui restera le souvenir le plus émouvant de ce voyage. |
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TOKYO août 2012 |
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Elles venaient nous rendre visite à Paris pour moins d'une semaine. 14 heures d'avion, atterrissage dans un pays inconnu. Quel courage pour ces jeunes filles et ces jeunes femmes! Toujours souriantes, gentilles et discrètes. Alors nous avons eu le courage de partir pour moins d'une semaine voir le pays d'où elles venaient. 14 heures d'avion, la crainte de l'atterrissage dans un pays inconnu à l'écriture si différente. Apprenant notre arrivée, toutes nous ont accordé un accueil exceptionnel, chaleureux, affectueux qui nous a profondément touché. Certaine avec leur mari, nous ont fait découvrir leur pays. Les lieux qu'elles aimaient. Les temples, le Fujiyama... Nous attendons de les revoir avec plaisir à Paris ou au Japon. |
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NEW YORK Juin 2012 |
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Un projet de 2010 qui se réalise. Nous devions être quatre mais par un grand renfort nous fûmes dix en arrivant à l'aéroport. 8 heures d'avion, 6 heures de décalage horaire. New york c'est haut et grand, mais Manhattan le coeur touristique est plus petit que Paris. 3 Jours pour faire les "musts": Statue de la Liberté, Ellis Island, Ground Zéro, Empire States Building, Rockfeller center, Central Park: Le bois de Vincennes au coeur de la ville, les musées...mais il est temps d'approfondir et de se "newyorkiser" en visitant les quartiers extérieurs. Harlem rénové et son "burger turbulent. Chinatown très dépaysant et justant ce quartier: "little Italy". Greenwich village et ses marchés où l'on cotoie enfin la vrai vie des Newyorkais. Pour finir un coin de France découvert par hasard: Bryant park, ses boulistes et son manège... |
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Dresden (Allemagne) février 2012 |
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Une ouverture dans notre emploi du temps et nous saisissons l'opportunité pour aller voir ce qu'est devenue la ruine de la Frauenkirche de Dresden. Je l'avais découverte en 1994. Rien n'avait bougé 50 ans après le bombardement qui fit 5 fois plus de morts civils qu'à Hiroshima. Une affiche indiquait que la reconstruction était envisagée et qu'il était possible de souscrire financièrement à ce projet. Il semblait impossible à réaliser... Lors d'une autre visite en 1999, les travaux étaient commencés, mais l'église ne dépassait pas 3m de haut. A cette allure qui en verrait le sommet ? C'est en 2006 que les travaux ont été achevés. Notre surprise fut grande. L'extérieur était parfaitement réussi. Fermée à notre arrivée, nous avons patienté jusqu'au lendemain 10h pour decouvrir l'écrin de l'intérieur, Baroque sans exagération avec des couleurs reposantes. Une splendeur dont nous n'arrivions plus à nous détacher. Courrez y vite. D'autant que la ville est agréable et toujours impressionante. Pour parvenir à Dresden nous avons fait escale à Franckfort que nous ne connaissions pas encore. Si le centre ville avec maisons à colombages est un peu classique, les centres commerciaux à l'architecture audacieuse nous ont beaucoup plu. Une bratwurtz sur la place de la mairie à Weimar. Je suis toujours impressionné par cette ville où le vent semble être le souffle de Goethe, Schiller, LIstz... Sur le retour étape à Nuremberg pour la saucisse. Un ultime arrêt en matinée pour une promenade dans Rothenburgh, là où le Père Noël va acheter les décorations pour ses sapins et ses rènes. Bien sur les gens attendent les feux rouges pour traverser, les voitures ne cherchent pas à vous écraser, pas de vilains gestes sur l'autoroute ce qui permet de circuler très vite en sécurité et tranquilité, pas de radar pour vous racketter. Un stage de conduite en Allemagne devrait être obligatoire pour les français. La propreté des rues est exemplaire. SUR SKYDRIVE, VISIONNEZ TOUTES LES PHOTOS |
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Kenya février 2011 |
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Mon cousin nous a conseillé ce voyage pour y être allé. Comme le zoo de Vincennes est fermé, voir des animaux en liberté dans la savane, voir le Kilimanjaro, passer dans l'hémisphère sud et voir les Massaï nous a semblé très attractif surtout dans les conditions proposées par l'agence Kuoni. 8 heures de vol pour aller à Nairobi. Première surprise, le safari s'effectue à plus de 2000 m d'altitude. |
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ANIMAUX |
LODGES |
POPULATION |
NOUS |
Florence septembre 2010 |
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Cette fois c'est en bâteau et en voiture au départ de Bastia. Première destination: Livourne après quatre heures sur mer calme. Spaghetti à la cafeteria du bateau pour la mise en ambiance. Quelques tracas pour trouver l'hôtel à cause d'une mauvaise information de Google. Le premier objectif était de voir les deux Botticceli aux Palais des Offices. La "Venus"et le "Printemps". D'autres tableaux italiens mais rien de plus que dans la galerie Denon au Louvre. L'entrée devrait être interdite aux moins de dix ans, il y a tant d'atrocités représentées sur les tableaux. Je préfère les tableaux bourgeois des flamands aux tableaux religieux italiens. Deuxième objectif, le vert d'Orezza, marbre corse de la Castaniccia qui revêt le sol de la chapelle des Medicis. Une surprise dans cette chapelle, deux sculptures de Michel Ange: "la Nuit et le Jour"," l'Aurore et le Crepuscule". Dernier objectif: le couvent San Marco aux cellules de moines décorées par de magnifiques fresques de Fra Angelico et le scriptorium très ambiance "Le Nom de la Rose". superbe ! Pour le reste: Le marché et ses abords avec les marchands de sacs, un souvenir vieux de 42 ans, le Ponte Vecchio et ses marchands de bijoux, le parc Boboli, quelques belles demeures et palais. Tout est payant, photos interdites. ( "quand j'entends le mot culture, je sors mon carnet de chèques"). D'agréables apéritifs et glaces sur la place della Signoria. Dommage: pas de musique. En plus des glaces, nous avons bu des cafés" stretto" comme il se doit (1 euro au comptoir, 4 euros en terrasse). le Rivoire établissement classe pour le dernier café du soir. Aller en Italie sans boire des cafés c'est aller en Ecosse sans boire de whisky... Je vous laisse trouver des suites. Bien sur, les boutiques de luxe que l'on trouve du cap Nord au cap de Bonne Espérance. En conclusion, Ce n'est pas Venise. Florence, c'est fini, je ne crois pas que j'y retournerai un jour (Pas mal ! Ca ferait bien dans une chanson). Retour par Pise où les touristes se contorsionnent pour des photos prises en train de retenir la tour. Le ridicule ne tue pas, c'est heureux. |
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Venise avril 2010 |
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Départ en avion, comme le nuage de cendres a disparu on peut décoller. L'arrivée vers Venise par la lagune est aussi belle que l'arrivée en train quand on sort de la gare de Sta Lucia. Une heure de vaporreto via Murano et le Lido. L'hôtel un peu difficile à trouver dans les ruelles de Venise et leurs ponts à traverser avec la valise. Un excellent diner sur la Place de La Fenice que nous visiterons ensuite. La Fenice est un splendide opéra où toutes divas rèvent de bruler les planches. On regrettera de pas pouvoir y prendre de photos. Un peu de patience ça viendra. Promenade le lendemain à Murano. Visite d'un atelier de soufflage de verre et du magasin d'art. Nous avons préféré Burano pour son silence et son decor d'operette qui a du inspiré l'enfant du pays: Galuppi. Spécialités de nappes brodées (hum... on sent l'influence des voyages de Marco Polo quant à l'origine). Un détour par Le Lido s'imposait pour l'atmosphère du film de Visconti et le souvenir des villégiatures princières. Si prochaine visite il y a, nous choisirons un hôtel sur cette ile, pour le plaisir de traverser la lagune vers Venise le matin et d'y revenir le soir à la lumière de fanaux. Nous avons manqué les grands monuments et les grands musées, mais la ville est à elle seule un musée où il est recommandé de se perdre pour découvrir des petites places et leur puit, les palais cachés, les églises, les marchés. Le dernier soir apéritif au caffè Florian. Le verre est au prix de la bouteille, mais en plus de l'orchestre il y a surtout l'âme de cet établissement et le souffle de ceux qui y sont passés. Nous avons eu la chance d'un très beau temps et un début de semaine peu fréquenté. Ce fut un très agréable voyage. (Cette phrase en souvenir de mes rédactions de l'école communale.) | |
Bruxelles mars 2010 |
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Profitant de la possibilité d'un rapide aller retour par Thalys: Une journée à Bruxelles (prononcer Brusselles comme Auxerre). Départ vers 9 heures mais pas de décalage horaire comme à Londres, alors arrivée vers 11h. Juste pour taper involontairement l'incruste dans un coctail d'architectes que se tenait dans la marché couvert. Les amuse gueules savourés avec une coupe de champagne, Direction le restaurant de la Grande Place. Au menu: Des frites bien sur avec de la bière fruité. Ensuite promenade dans la ville: La provinciale Place Ste Catherine et la place de Brouckère. Des achats dans les boutiques de chocolat, bien décorées à l'approche de Pâques, dans la galerie St Hubert. Une dernière bière sur la Grand Place ensoleillée. Pour terminer: visite obligatoire au Mannekenpis et retour vers Paris. Ce fut un très agréable voyage. |
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